Une étude de l’Université de Genève met en évidence l’intérêt de la musique dans les troubles du sommeil et plus spécifiquement, les cauchemars à caractère pathologique

Des chercheurs de l’Université de Genève viennent de mettre en évidence la capacité de la musique à diminuer la fréquence des cauchemars.
Dans le cadre de cette étude, dont les résultats ont été publiés dans la revue Current Biology, les chercheurs ont associé à la « thérapie par répétition d’imagerie mentale » (IRT) une méthode dite de « réactivation de mémoire ciblée » (Targeted Memory Reactivation). Concrètement, il s’agit d’envoyer des stimuli précis au cerveau de la personne endormie afin de réactiver certains souvenirs positifs. Le stimulus concerné ici est un accord de piano majeur joué toutes les 10 secondes. La moitié des 36 patients sélectionnés a bénéficié de cette « double thérapie » tandis que l’autre moitié a bénéficié uniquement de la « thérapie par répétition d’imagerie mentale » (IRT) classique.
Si la fréquence des cauchemars a diminué dans les deux groupes, cette diminution est plus importante dans le groupe ayant bénéficié du stimulus sonore, qui a par ailleurs permis d’augmenter le nombre de rêves positifs.
Les chercheurs entendent désormais se concentrer sur les cauchemars en lien avec un stress post-traumatique.

Lire le communiqué de presse de l’Université de Genève

Lire l’article de La Dépêche

Revue canadienne de musicothérapie : Edition 2021

La dernière édition de la Revue canadienne de musicothérapie est disponible en téléchargement ci-dessous.

Elle se compose de :
– Entrevue avec le Dr Colin Andrew Lee
– un document de réflexion : Reconsidering the Dominant Narratives of the Music Therapy Profession for the Future
– Expériences de musicothérapeutes travaillant à court terme avec des groupes d’adolescents en santé Mentale
– une revue de la littérature autour du thème : « Can Music Improve Sleep Quality ? »
– un article sur un nouvel institut pour promouvoir et soutenir la musicothérapie
– Une critique du documentaire d’Isabelle Raynauld (réalisatrice) : De la musique pour le cerveau
– une critique du livre Guide musique, adolescence et bien être
– une critique du livre Compétences verbales de base pour musicothérapeutes

Le musicothérapeute Jean-François Labit conduit une étude sur le thème « musicothérapie et sommeil : accompagnement des troubles de l’endormissement et des réveils nocturnes »

Le mensuel aveyronnais Ruthène magazine vient de consacrer un article aux travaux du musicothérapeute clinicien Jean-François Labit, qui conduit actuellement une nouvelle étude ayant pour sujet : « musicothérapie et sommeil : accompagnement des troubles de l’endormissement et des réveils nocturnes ».
Mené en partenariat avec l’Association Groupe du Sommeil 12, le CH Sainte-Marie Rodez et l’Assad 12, ce projet se traduit aussi par la constitution d’un réseau de professionnels de santé soucieux d’améliorer la prise en charge des troubles du sommeil via des techniques complémentaires et non-médicamenteuses.
Il s’agit, au terme de l’étude, d’être en mesure de proposer une réponse clinique en musicothérapie aux patients réceptifs.

Pour en savoir plus sur cette étude :
bluenoteconcept12@orange.fr – 06.07.67.68.69

JFL

Musicothérapeute clinicienne, Émilie Tromeur-Navaresi ouvre son cabinet à Lons-le-Saunier

Musicothérapeute clinicienne, titulaire du Master de Paris-Descartes, du DU de Montpellier et d’une certification en neuromusicothérapie, Émilie Tromeur-Navaresi a officiellement ouvert, le 30 août dernier, son cabinet libéral, place de la Comédie à Lons-le-Saunier, dans le Jura.

Déjà forte d’une longue expérience en EHPAD, en soins palliatifs et en unité Alzheimer en Bourgogne, cette jeune professionnelle de 33 ans élargit désormais son champ d’action, assurant la prise en charge de tous types de publics.

Un article lui est consacré dans Le Progrès

Pour contacter Emilie :
06.51.33.73.66

Emilie

La musicothérapie sur l’île de La Réunion

Cet article publié le 20 juin sur le site réunionnais clicanoo fait le point sur les bienfaits de la musique, pointant notamment l’intérêt de la musicothérapie auprès de patients victime d’AVC ou encore de personnes atteintes de la maladie de Parkinson.
En outre, le CHU de La Réunion a recours à l’application de musicothérapie Music Care pour aider les patients à gérer « anxiété, dépression, troubles du sommeil, douleur, asthénie, compulsions », indique le chef du service addictologie.
L’article fait également intervenir Jean-Bernard Coutaye, musicothérapeute au Foyer d’Accueil Médicalisé Les Cascavelles, qui vient apporter un autre éclairage supplémentaire sur les objectifs de la musicothérapie, à savoir « ouvrir des canaux de communication ».

Lire l’article complet

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